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i feel you (flashback/ w/dean) [+18]
Cynthia Wright
Cynthia Wright
i feel you (flashback/ w/dean) [+18] 448 i feel you (flashback/ w/dean) [+18] 148 i feel you (flashback/ w/dean) [+18] 445 i feel you (flashback/ w/dean) [+18] No i feel you (flashback/ w/dean) [+18] No i feel you (flashback/ w/dean) [+18] No

Pokédollars : 54350
Feat. : (( BLAKE LIVELY))

Age : (( 34 )) la grâce, la maturité et la sagesse se lisent sous les traits tendres et harmonieux de ton visage. tu inspires le respect et la bienveillance. le temporel ne pourra nullement parvenir à changer cela. Statut civil : (( DIVORCE PROCEEDING )) lutte acharnée pour parvenir à franchir ce chapitre. lutte acharnée et périlleuse que de t’échapper de cette étreinte féroce et manipulatrice. mais, tu as réussi. et cette réussite ne t’inspire pas spécialement à rechercher le symbole de cupidon. Emploi / loisirs : (( MASTER POKEMON )) il s'agit beaucoup plus qu'un titre à tes yeux. occasion unique et exceptionnelle d'inculquer responsabilité à tous ces dresseurs se présentant à toi, mais surtout de leur apprendre quelle est la véritable valeur d'être dresseur Pokémon. Localisation : (( KANTO -- INDIGO )) nouvelle terre que tu foules depuis un temps que tu ne comptes plus. nouvelle terre auquel tu tiens. nouvelle terre que tu protégeras de ceux désirant y mettre fin et où tu défendras, protégeras, coûte que coûte, ces créatures des forces des ténèbres.
Commentaires : i feel you (flashback/ w/dean) [+18] Fafa2c9eebbb13ac6bf065f2ad79185e645d2864
Crédits : cosmic light (avatar) Warning(s), va devoir jouer : (( violence conjugale, possible scènes érotiques )) Trigger(s), refuse de jouer : (( à discuter entre nous, mais pas de cruauté envers les Pokémon! )) Joueur.se : (( shining heart ))
Date d'inscription : 09/11/2021
Messages : 25
{ ton équipe et toi }
Dim 27 Mar - 19:05



I feel you, each move you make. I feel you, each breath you take. Where angels sing and spread their wings, my love's on high you take me home to glory's throne, by and by > @dean finnegan


(( tenue )) Alola. Sublime région pour découvrir, explorer, se cultiver. Divine région pour prétexter un voyage de dernière minute. Divine région pour explorer ses moindres recoins, encore plus en matière de mythes et légendes. Alola ne t’est pas étrangère. Tu t’y es déjà rendue, il y a de cela quelques mois d’ici. Tu as frôlé les terres de cette région pour apprendre sa différence avec les autres  que tu as déjà pu connaître et côtoyer. Coup de cœur pour sa spécificité, elle est unique. Unique car elle est bercée par des îles aussi prestigieuses les unes que les autres. Des îles dont tu as pu apprivoiser deux dans son entièreté, pas le reste. Habituellement, tes voyages ne se font qu’à but professionnel. Tu ne t’autorises pas à prendre des vacances car tu sais que les habitants de Kanto ont besoin de toi, tout comme ils ont aussi besoin de tes plus fidèles compagnons. Pourtant, l’exception survient. Ressentir le besoin de se détendre, de s’aérer l’esprit s’avère être un remède des plus précieux au monde. Un remède auquel tu ne goûtes pas assez. Un remède dont tu as pris la décision de l’accepter uniquement par son fait. Par son fait à lui. Celui rencontré il y a quelques mois d’ici. Le premier homme auprès duquel tu as eu l’audace de te laisser aller, sans calcul, sans préméditation. Premier car, depuis cette séparation provoquée avec ton ex, tu as voulu te fermer à tout. Aux rencontres. Aux amours. Aux flirts. Aux aventures d’un soir. Porte close pour ce coeur bien trop amoché et meurtri par les actes d’un seul être. Protection rude qui entoure ton âme. La souffrance, tu l’évites. Tu l’éloignes, autant que faire se peut, de toi, de ta vie, de ton monde. Tu ne veux plus la retrouver. Tu estimes en avoir trop bavé que pour avoir la stupidité de t’y plonger la tête fermée. Raison pour laquelle que depuis cette ancienne histoire réduite en cendres, tu t’es plongée, corps et âme, à la Ligue Pokémon d’Hoenn, à tes Pokémons, à tes proches. Tu t’es plongée dans ce monde professionnel qui te procure bien-être et sérénité. Sensation encore plus retrouvée lorsque tu viens à succéder à l’ancien Maître de Kanto. Opportunité en or pour amener ta pierre à l’édifice et construire un avenir meilleur et plus propice à cette belle région. Il a fallu que ta route croise celle de ce Maître. Ce Maître qui parvient à te faire oublier les souffrances du passé pour avancer, sans que tu ne puisses t’en rendre compte. Ce Maître qui incite à ton inconscient de relâcher un peu de leste pour une détente salvatrice et méritée. Lui-même, seul coupable de cette invitation dissimulée sous ce message t’informant de sa présence à Alola, sur l’île de Poni. Il est vrai que tu as hésité. Hésitation de mise face aux actes criminels s’éveillant à travers les villes de Kanto. Incorrigible, tu as veillé à ce que les autorités soient bien opérationnelles pour avoir ton esprit un peu plus tranquille. Le pire dans tout ça? C’est Hélios. Lui qui t’a poussé à partir et à accepter. Sauf, qu’au moment où tu as souhaité répondre à l’invitation de ce bel âtre, une mauvaise manipulation d’Hélios a fit disparaître autant son message que son numéro… et quasi la totalité de ton répertoire. Tu n’as plus le choix. Tu ne l’as vraiment plus. Il te faut prendre le premier transport pour te conduire aussitôt là-bas.

Île de Poni. Île ornée de plateaux rocheux, de magnifiques et resplendissantes végétations, mais surtout de divines plages de sable fin, donnant envie à familles, couples, personnes seules de s’y reposer pour profiter du soleil et du bruit serein offert par une mer mélodieuse. Île où tu y as déposé pieds il y a de cela, à peine quelques heures. Tu ne veux pas perdre de temps. Pourquoi? Car, cela doit faire une belle poignée d’heures que Dean attend une réponse de ta part. Tu n’as pas envie qu’il pense que tu aies pu lui faire faux bond. Il en était hors de question. Raison valable et suffisante pour que tu te sois déjà rendue à ton hôtel, précipitée à l’intérieur de ta chambre pour prendre une douche et te changer. Lui t’offre la liberté de te détendre, au moins une fois dans ta vie. Toi, tu profites de cette occasion pour laisser à tes êtres les plus chers de s’amuser aux abords des plages. Tu leur demandes d’être prudents, de ne pas s’éloigner et d’être vigilants envers les nouvelles créatures qu’ils pourraient rencontrer. C’est plus fort que toi. Ta vie, sans eux, ne résume à rien. Autant Hélios que ton Draco te poussent à l’extérieur de l’hôtel dès que tu fus prête. Vérification rapide à l’aide de ton miroir de poche, quelques touches de ta note de parfum favorite et savant enivrer ton jumeau de quêtes légendaires que tu prends la poudre d’escampette au profit d’un transport. Un transport te guidant vers le logement de Dean. Celui d’un hôtel situé plus loin du tien. Tu pouvais remercier le maître du tien pour t’avoir donné cette information cruciale et précieuse. Dès lors, c’est le coeur battant relativement la chamade, sans que tu ne le contrôles, que tu arrives, enfin, devant sa chambre. Tu toques. Tu frappes. Deux fois. Tu réitères l’acte une dernière fois. « Je t’en prie… Ouvre cette porte… » Murmures-tu entre tes lèvres, espérant sincèrement qu’il soit là et non ailleurs, quelque part sur l’île…

Dean Finnegan
Dean Finnegan
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Pokédollars : 39500
Feat. : Taron Egerton

Age : Trente-trois années de défis, de combats, de dressages, de compétitions et maintenant de mystères que tu n'as de cesse de vouloir résoudre en te confrontant aux dangers des légendes de ce monde... Statut civil : Célibataire endurci ne se perdant nullement dans la quête désespérée de l'amour, préférant une solitude confortable qu'une union forcée et entravante. Emploi / loisirs : Maître Pokémon de Kalos, ton statut s'apparente davantage à celui d'un mystérieux vagabond et un bon samaritain aujourd'hui... Localisation : Sur la trace des légendaires, à travers l'ensemble de Kanto et de ses environs.
Commentaires : i feel you (flashback/ w/dean) [+18] Z6u1
Crédits : Pepper Double compte : Sélène Warning(s), va devoir jouer : possiblement de la violence, de la romance et de l'intimité, et de la discorde familiale ! Trigger(s), refuse de jouer : je suis ouvert à tout dans l'ensemble, tant que c'est convenu au préalable en cas de sujets 'sensibles' Joueur.se : Not salt, just pepper
Date d'inscription : 25/02/2022
Messages : 72
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Dim 27 Mar - 22:02




I feel you > @Cynthia Wright


(( tenue )) Il fait chaud. Le soleil tape. Le soleil cogne. Et sous la visière de ta casquette, tu affrontes sa chaleur tout en enchaînant les foulées et les pas de courses dans une répétition parfaitement coordonnée. Savourer l’air marin. Évader ton esprit et laisser extérioriser les diverses formes de tensions présentes dans ton corps. Un corps sain est avant tout un esprit sain. Alors autant allié les deux pour une meilleure réussite! Il faut dire que, depuis la crise qui a causé cette séparation avec ta soeur, et l’incident survenu avec Xerneas, tu as beaucoup travaillé sur toi-même afin de faire la part des choses. Comprendre tes erreurs. Admettre tes torts. Reconnaître que tu étais dans la faute, et non dans la raison. Des faits que ton esprit a appris à prendre en considération, mais dont tu n’arrives pas encore à trouver la manière de les exprimer, ou de les déclarer. C’est une part de complexité qui demeure solidement ancrée en toi… Et qui t’as encore et toujours empêché d’avoir le courage de prendre des nouvelles de Céleste. Elle te manquait! Elle était ta soeur! Elle était cette moitié avec laquelle tu avais partagé tes jeunes et aventureuses années. Elle était ton premier soutien. Tu as su être le sien. Mais elle s’avère surtout ce repère désormais perdu et dont tu n’oses partir concrètement à la recherche… Alors que tu sais pertinemment par où commencer! C’est ce qu’il y a de plus personnel et de plus humain en toi. La richesse d’une humanité sachant vivre et éprouver autre chose que des quêtes incessantes et légendaires pour chasser la monotonie d’une vie de ‘Maître’ qui, à l’époque, ne s’illustrait pas de la vie trépidante dont tu avais rêvé plus jeune… Oui. Bien sûr que tu y penses! Bien sûr qu’en six mois, la cicatrice est toujours ouverte, presque béante… Néanmoins, tu ne peux pas te laisser abattre. Car ce n’est pas ce que tu es. Ce n’est pas dans ton caractère. Mais aussi car la défaite ne fait pas partie de ton vocabulaire. Qu’importe la réalité difficile et douloureuse d’une bataille, car tu n’abandonnes et ne perds jamais!

Mais, sous ce soleil, ce serait mentir de dire que tes pensées ne sont tournées que vers cette blessure familiale causée par tes soins. Non. Il y a cette autre femme. Il y a cette consoeur. La Maître de Kanto. Ce plaisir coupable que tu as effleuré et touché à quelques occasions. Quelques instants volés ne se comptant que sur les doigts d’une main, et au travers duquel tu avais brusquement oublié toute autre notion de ton existence et de la réalité. Juste pour la magie du moment présent. Juste pour la saveur d’une union, d’un instant. Juste la simplicité de deux corps se cherchant pour se trouver, et s’adonner à une communion que ni l’un ni l’autre ne semble avoir le besoin d’expliquer. Raison de plus pour laquelle ces instants, bien que rares, sont tout aussi uniques et savoureux. Il y a ce quelque chose de naturel, se moquant totalement du pourquoi du comment. Et l’envie de revoir la personne en question. Depuis combien de semaines dataient vos dernières retrouvailles? Depuis bien trop longtemps à ton goût! Et, malgré l’absence de réponse de sa part, tu espérais secrètement qu’au bout de ta session de jogging, tu puisses rentrer dans un hôtel où ton invitée serait là, présente, sur le pas de ta porte. Danger que de se mettre à espérer ce genre de chose…? Si l’on cherche à éviter toute forme d’attache, très certainement! Ironiquement, cette notion même d’attache n’effleure pas un seul instant ton esprit. Tu préfères te convaincre qu’il s’agit exclusivement d’un plaisir relativement unique que tu peux trouver à ses côtés, et pas auprès d’une autre. Et quitte à être dans une île aux allures paradisiaques, pourquoi ne pas profiter d’une occasion, d’un nouvel instant volé? Mensonge envers toi-même afin de te rassurer? Va savoir!

“Cynthia…?!” Tu t’arrêtes au milieu du couloir, à quelques mètres de la porte de ta chambre. La peau encore rougit par le soleil, le visage pratiquement en sueur malgré ta casquette, tu es à la fois surpris, estomaqué, ravi et pris de court de la voir, là, juste devant toi. “Je pensais pas que tu viendrais mais…” Tes yeux ne peuvent que savourer la silhouette délicieusement mise en valeur par une tenue au blanc éclatant avec un fin sourire sur tes lippes. “La surprise fait plaisir…” Souffles-tu, lui offrant un clin d’oeil complice, tout en s’avançant vers elle et la porte d’entrée. L’une de tes mains ouvre la poche de ton short afin d’en sortir le pass de ta chambre. “Et on peut dire qu’on a joué d’un bon timing… même si tu m’excuseras de ne pas encore avoir pris de douche?” Demanda-t-il d’un regard limite sous-entendu, fin amusement sur le bord des lèvres, tout en déverrouillant et en ouvrant cette porte au travers de laquelle il l’invite et la laisse rentrer en premier lieu. “T’as fait bon voyage?”

Cynthia Wright
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Age : (( 34 )) la grâce, la maturité et la sagesse se lisent sous les traits tendres et harmonieux de ton visage. tu inspires le respect et la bienveillance. le temporel ne pourra nullement parvenir à changer cela. Statut civil : (( DIVORCE PROCEEDING )) lutte acharnée pour parvenir à franchir ce chapitre. lutte acharnée et périlleuse que de t’échapper de cette étreinte féroce et manipulatrice. mais, tu as réussi. et cette réussite ne t’inspire pas spécialement à rechercher le symbole de cupidon. Emploi / loisirs : (( MASTER POKEMON )) il s'agit beaucoup plus qu'un titre à tes yeux. occasion unique et exceptionnelle d'inculquer responsabilité à tous ces dresseurs se présentant à toi, mais surtout de leur apprendre quelle est la véritable valeur d'être dresseur Pokémon. Localisation : (( KANTO -- INDIGO )) nouvelle terre que tu foules depuis un temps que tu ne comptes plus. nouvelle terre auquel tu tiens. nouvelle terre que tu protégeras de ceux désirant y mettre fin et où tu défendras, protégeras, coûte que coûte, ces créatures des forces des ténèbres.
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Dim 27 Mar - 22:27



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(( tenue )) Élégante coquetterie propre à la prestance que ta silhouette aborde naturellement. Tu es une femme qui aime soigner son apparence et qui apprécie de prendre bien soin d’elle. C’est un fait naturel chez toi. La séparation t’a permis de te retrouver et de retourner à tes amours d’enfance. Coquetterie pour toi, mais être coquette l’est aussi un peu pour lui. Sans doute inconsciemment, tu as cette envie folle et affolante de vouloir lui plaire, un peu plus. Il est cet homme avec qui tu as déjà partagé quelques instants volés. Des instants volés intenses, sulfureux et incroyables. Tu gardes de très bons souvenirs de ces derniers. Des souvenirs qui ont permis à ton esprit de s’envoler, de laisser tout le reste de ta vie s’envoler vers d’autres horizons. Il est celui dont tu te laisses aller à l’expression de ton corps. Tu l’écoutes. Tu es attentive. Tu te laisses border et porter. Porter par les envies qu’il te procure. Porter par ce naturel magique et mystérieux qui vous transporte dès lors que vos regards se croisent et que vos souffles osent s’entremêler.

Le creux de ton ventre se serre autant que tu sens une vague de chaleur apaisante venir t’entourer. Ton ventre se serre car tu es dans l’ignorance. Et cette ignorance se creuse davantage au fur et à mesure des minutes qui s’écoulent. Tu ne prends pas la peine de jeter un oeil à la montre qui se siège à ton poignet. Habituellement, tu sais te montrer patiente. En réalité, c’est une gifle qui s’abat sur ton visage angélique, car, en cet instant précis, tu ne l’es pas. Tu ne l’es pas du tout. Tu patientes. Tu patientes en jetant un coup d'œil sur l’écran de ton téléphone ou encore en osant reposer ton oreille contre la porte de cette chambre close. Espères-tu entendre un son bien précis signifiant sa présence? Peut-être. Mais, c’est dès lors que tu fais ce geste que tu te sens soudainement être prise d’un sursaut qui te fait, presque, perdre l’équilibre. Debout sur la hauteur de tes talons, tu manques de rater ton souffle. Une main reposée sur le sommet de ta poitrine, contre ton cœur, tes yeux se ferment quelques secondes. « Bordel Dean… Oui, c’est moi… Tu pensais que c’était quelqu’un d’autre…?! » Réponds-tu nonchalamment alors que tu laisses le temps nécessaire à ton myocarde de retrouver son rythme normal. Et il a bien besoin de ces secondes pour le retrouver. Paupières fermées, elles finissent par trouver cette force de s’ouvrir. Ouverture délivrant un visuel des plus… parfaits et des plus… bouillants… Une vue aussi délicieuse que savoureuse. Rapidement, sans le contrôler, tes yeux glissent sur chaque partie de chair dénudée. Partie de chair ferme… rude… meurtrie par un entraînement, sans nul doute, coriace. Ton coeur reprend une envolée directe, là où tu retiens à la base de ta lèvre inférieure d’être mordillée. Tu ne regrettes pas cette attente. Là, elle en valait largement la chandelle…  « Je… Hum… Je ne pouvais pas te laisser… en plein désarroi… Hum… » Racles-tu brièvement la gorge sans avoir ce courage de délaisser ses bras, ou encore son torse de ton regard.  « Hélios a, un peu trop, joué avec mon portable… Je dois le changer et… je n’aime pas laisser… mon compère… dans le flou le plus total… tu vois…? » Finis-tu par lui répondre dans un fin sourire amusé ornant le coin de tes lèvres. Ton regard suit le sien, cette silhouette se mettant à se rapprocher de toi et semblant ponctuer, un peu plus, la chaleur ambiante de ce couloir. Proche de toi, un homme lambda sentirait l’odeur naturelle du mâle après un entraînement sportif digne de ce nom, mais lui… lui avait cette petite touche qui lui fait conserver une odeur délicate et délicieuse à la fois.  « Hum… C’est excusé… A la condition que… » Regard complice, sourire plus amusé encore, malicieux surtout, tu laisses ta main venir se reposer délicatement sur son biceps.  « Je pense que… tu devines mes pensées… » Sourire plus marqué, ta main délaisse sa peau lorsqu’il t’invite à entrer à l’intérieur de la chambre.  « Il s’est passé sans encombre. J’ai juste eu droit à quelques petits malins à mon arrivée, mais rien de bien méchant… » Tu t’avances vers le bureau ornant le coin de la pièce pour y reposer ton sac à main.  « C’est surtout… ton attente… qui a été le plus… pénible… » Confies-tu au Maître de Kalos en finissant par revenir vers lui, après qu’il ait fermé la porte. Pas rapprochés, à sa hauteur, tu prends les devants en venant retirer délicatement sa casquette.  « Mais je vois… que tu t’es occupé… comme tu le pouvais… » Ton regard se plonge dans le sien. Tu ne le quittes pas des yeux. La casquette se retrouve reposer sur le lit alors que tu as l’audace de laisser le bout de tes doigts effleurer le sommet de son épaule découverte.  « Je ne pouvais rêver d’un… meilleur accueil… »

Dean Finnegan
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Dim 27 Mar - 23:26




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(( tenue )) Un sourire. Un sourire qui s’amuse grandement de la frayeur que tu as pu lui causer involontairement, en même temps que ton coeur rate un battement et que la température se met naturellement à grimper. Tu avais pratiqué pas loin d’une bonne heure et demie d’exercices sur la plage et sous le soleil de Poni. Néanmoins, la chaleur ne te semblait pas plus fulgurante qu’en cet instant précis où tu la découvrais dans ce charisme, cette classe, cette élégance et ce que tu qualifierais de sensualité naturelle! La Maître de Kanto se voulait autant une dresseuse hors pair qu’une experte en matière de goût, de style et de mode. Un plaisir qui s’offrait à tous les regards, et principalement au tiens en l'occurrence! Un regard qui ne trouvait là qu’une beauté de laquelle on ne voudrait se détourner. Ou encore de dévorer de part en part sans la moindre subtilité. Un peu à l’image de ce mouvement empreinté par tes iris pour bien caresser la longueur de ses jambes dénudées sous cette mini-jupe fendue comme il le fallait, et un haut camouflant un buste délicieusement moulé dans un tissu sachant parfaitement mettre ses atouts en valeur! “Oh, tu sais… Entre la femme de ménage… Les gardiens de l’île… ou encore mes charmantes fans hystériques…” Roules-tu des yeux avec une fine pointe de provocation volontaire afin de tester habilement toute trace de potentielle jalousie. Tu sais que c’est un jeu où elle sait te rendre magnifiquement la pareille par ailleurs. Cela dit, tant que ça a le mérite de vous faire rire tous les deux, pourquoi s’en priver tant que ce n’est pas dans l’abus?! Tout en te rapprochant d’elle et de son corps, tu ne peux que remarquer cette difficulté apparente qu’elle a de parler et de te fixer dans les yeux. Vas-tu lui en tenir rigueur? Certainement pas! Car cela te laisse toi-même l’opportunité de bien détailler l’ensemble de ses courbes tout en te sentant touché et honoré de ce trouble que tu parviens à faire naître chez elle. “Je suis touché par tant de… prévenance… de la part de ma chère consoeur…” Joues-tu le jeu, reposant tes yeux profonds et perçants dans la magnificence de ses iris bleutés. “Et je pense pouvoir pardonner Hélios, s’il ne lui prend plus l’envie de telles… bêtises…” Rire qui s’extirpe de tes lèvres. Votre proximité se retrouve de plus en plus prononcée alors que tu es quasiment à hauteur de cette fameuse porte. Le timbre de voix. Les mots choisis. L’effleurement et le contact de ses douces phalanges qui font instinctivement se contracter ton biceps. “À ton avis… pourquoi je ne l’ai pas encore prise…?” Au jeu du sous-entendu, il n’y avait jamais de perdant entre vous. Et, clairement, vos pensées semblaient on ne peut plus connectées en cet instant. Surprise? Non, juste une évidence brûlante et délicieuse!

Entrant à sa suite, et refermant le loquet de la porte derrière toi, afin que la chambre soit parfaitement verrouillée, un sourire se niche avec ironie sous ses premiers mots, avant de réaliser un petit son et un petit mouvement de moue avec tes lèvres. “Une fois de plus… Faudra vraiment sermonner Hélios pour ce contre-temps…” Replaces-tu avec taquinerie la responsabilité de ce qui aurait pu être dommageable pour vos retrouvailles mais qui, finalement, ne se montre d’aucun impact réellement négatif vu votre présence à l’un et l’autre, dans cette chambre. Ceci dit, elle ne te laisse guère le temps de vagabonder à ta guise dans la pièce, que du contraire. Son rapprochement est délicieux et ne se fait pas attendre. Tu la laisses librement te délester de cette casquette qui permet à ton visage de mieux se découvrir à son regard, là où tes prunelles ne cessent de détailler les traits charnels de ses lèvres et chaque aspect de son visage enivrant. Silencieux, tu sens le bout de ses doigts sur ton épaule. Tu souris. Finement. Avec charme. Tes biceps se contractent, comme tes pectoraux, histoire de rajouter un poil de prestance à cette situation. Tes bras et tes mains viennent se poser sur ses hanches. Contact qui te plait à retrouver, même si elle est encore trop habillée à ton goût. Tes lèvres s’étirent un peu plus. Ta tête se secoue légèrement de droite à gauche. “Désolé de te contredire mais… je pense, au contraire… que tu peux vraiment rêver… d’un meilleur accueil…” Souriant, séduisant, d’une assurance évidente, ton sourire s’éteint en même temps que ton visage se rapproche du sien. Vos yeux s’effleurent. Tes paupières se ferment. Ton sourire meurt en épousant son souffle. Tes lèvres se posent sur les siennes. Éclair qui te terrasse de l’intérieur en ressentant ce contact qui t’as tellement manqué. Saveur sucrée et humide de cette bouche délicieusement divine que tu te plais à embrasser et à retrouver dans une sensualité empreinte de ce manque et de cette gourmandise savamment dosée afin de te montrer aussi sensuel que subtilement langoureux.  

Cynthia Wright
Cynthia Wright
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trigger warning : scènes dénudées - relations intimes

(( tenue )) « Tes charmantes fans hystériques…? » Tes yeux se plissent. Ils se plissent habilement sous la fine contrariété que ces mots employés et finement choisis t’ont fait ressentir. Tu n’iras pas à dire que tu le connais par coeur, ce serait bien trop orgueilleux de ta part, mais tu sais qu’il te provoque. Tu le sais pertinemment… et ça te frustre que tu sois là à tomber tête la première dans ce petit jeu. Un fin rictus se dessine sur le coin de tes lèvres. Les traits de ton visage montrent, relativement bien ce que ces mots signifient pour toi. Des traits transpirant une fine jalousie que tu essaies, autant que possible, de dissimuler sous cette allure charmeuse qui se crée alors. « Je suis… navrée pour elles, mais… jusqu’à preuve du contraire… C’est à moi… que tu appartiens… » Souffles-tu dans une fine chaleur sans te dépêtrer de ce regard qui se plonge dans le sien. L’une des choses que tu aimes chez cet homme, c’est l’immensité que son regard te procure. Tu pourrais passer des heures à le regarder sans te soucier du temps passé. Lorsqu’il repose ses yeux profondément dans les tiens, tu reconnais que tu fonds de l’intérieur. Il ne fait que ponctuer cette chaleur survenue brutalement dès l’instant où tu l’as vu… lui et ses muscles découverts au travers de ces bras dénudés et offerts… « Oh… Tu lui pardonneras… J’en suis… convaincue… » Sourire amusé qui s’accompagne de son rire que tu aimes tant entendre. Mais sourire amusé qui se ponctue d’une fine sensualité propre à toi, propre pour lui, dans le son de ta voix et de ce léger souffle qui s’en accompagne. Cette question? Tu n’y réponds pas par des mots. Cela t’est inutile… complétement inutile… Tu te contentes uniquement de planter un regard profond, intense dans le sien, le tout agrémenté de ce déhanché subtil et rempli de grâce, de séduction dans cette démarche te faisant pénétrer à l’intérieur de cette chambre. « Est-ce vraiment la peine de le sermonner…? Alors que… finalement… je suis présente… ici… avec toi… » Face à lui, tu caresses son regard dans ce fin mordillement sensuel de ta lèvre inférieure. Tes pupilles glissent sur chacun de ses traits torturés par l’activité sportive subie, ainsi que par ces retrouvailles inattendues. Le bout de tes doigts se reposent sur cette épaule, pour ensuite glisser sur le sommet de l’un de ses pectoraux. Tes yeux ne sont pas volages. Ils persistent à demeurer sur son visage si délicieux et si enivrant. Ils persistent à se replonger dans la profondeur de la beauté qu’offre sa vision. Les contractions qu’il émet sur ses muscles ne font qu’alourdir cette température, cette tension qui s’est installée dès l’instant où vous vous êtes retrouvés. Tu te dois de retenir un lourd frisson lorsque tu sens le retour de ses mains, de ses bras se reposer sur tes hanches. Cette proximité… Cette fermeté ressentie dans le contact de ses membres te fait du bien. Contact qui te plaît, que tu aimes retrouver. Sous ses mots, un sourire s’étire un peu plus sur tes lèvres. Toi qui avait cet objectif de… prendre le temps… lui balaie cette idée ridicule d’un revers de main. Tu ressens l’activité de ton myocarde s’affoler. Il s’affole de plus en plus sous ce rapprochement. Tes paupières vrillent délicieusement. Tes yeux épousent les mouvements de ses lèvres. Tu sens cet éclair traverser chaque parcelle de ton corps dès l’instant où tu ressens ses lippes épouser les tiennes. Saveur délicate, ponctuée d’un sucré délicieux et exquis, c’est un plaisir enivrant que de retrouver l’ampleur de ces sensations qu’il parvient à te faire ressentir. Tu te plais à répondre. Tu te plais à répondre à ce baiser offert. Tu te plais de répondre à ce mariage de vos lèvres qui se retrouvent et qui se savourent. L’empreinte sensuelle de ce manque comblé se ponctue de la présence de cette main quittant son pectoral pour se glisser et se nicher dans le creux de sa nuque. Gourmandise plongée dans l’ouverture subtile et sensuelle de tes lippes pour apporter un aspect plus… soyeux… plus langoureux. Un aspect où tu as cette sensation étrange que ton coeur est prêt à s’échapper de ta poitrine pour sautiller tout autour de cette pièce. Tes doigts glissent dans ses cheveux. Ils se referment tendrement en leur creux. Tu as ce plaisir de ressentir cette fine chair de poule que ces retrouvailles lui procurent. Il t’est impossible de contenir plus longtemps cette délicieuse fougue qui s’installe naturellement. Tu l’embrasses dans une passion qui n’a pas de peine à revenir sur le devant de la scène. La jumelle de ta main a ce plaisir secret de se glisser sous ce débardeur pour finir sa courte promenade sur ce ventre dont la saveur de cette peau ferme te frissonne encore plus. « Tu as… raison… Cet accueil… est encore… plus… meilleur… » Juste quelques instants… Juste quelques instants pour laisser à tes paupières de s’ouvrir sous le regard intense qu’il t’offre. « Tellement… plus… » La tentation devient forte… beaucoup trop… Ton souffle se meurt, à nouveau, sous la capture plus fougueuse, plus passionnée de ses succulentes lèvres, ne te raccrochant que plus sensuellement encore à cette peau… à ce ventre… après avoir eu l’audace de te délaisser de cette veste couvrant tes épaules…
Dean Finnegan
Dean Finnegan
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Pokédollars : 39500
Feat. : Taron Egerton

Age : Trente-trois années de défis, de combats, de dressages, de compétitions et maintenant de mystères que tu n'as de cesse de vouloir résoudre en te confrontant aux dangers des légendes de ce monde... Statut civil : Célibataire endurci ne se perdant nullement dans la quête désespérée de l'amour, préférant une solitude confortable qu'une union forcée et entravante. Emploi / loisirs : Maître Pokémon de Kalos, ton statut s'apparente davantage à celui d'un mystérieux vagabond et un bon samaritain aujourd'hui... Localisation : Sur la trace des légendaires, à travers l'ensemble de Kanto et de ses environs.
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Crédits : Pepper Double compte : Sélène Warning(s), va devoir jouer : possiblement de la violence, de la romance et de l'intimité, et de la discorde familiale ! Trigger(s), refuse de jouer : je suis ouvert à tout dans l'ensemble, tant que c'est convenu au préalable en cas de sujets 'sensibles' Joueur.se : Not salt, just pepper
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Jeu 31 Mar - 11:28




I feel you > @Cynthia Wright

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(( tenue )) “J’ignorais que je t’appartenais…” Au jeu de la provocation, tu répondras toujours de ta propre réplique afin de ne pas t’avouer vaincu dans une quelconque joute. Encore plus lorsqu’il est question d’une joute avec la délicieuse et enivrante Maître de Kanto. “D’autant que… qui dit que ce n’est pas l’inverse… et que ce n’est pas toi… qui m’appartient..?” Sourire qui se souligne avec davantage de malice et de charme séduisant au possible. Il n’a jamais été fait mention d’un quelconque sérieux dans vos échanges. L’un comme l’autre, se fixer ne faisait visiblement pas partie de vos priorités. Et ce n’était pas plus mal comme ça! Il faut reconnaître que ton quotidien était trop vagabond et particulier que pour se permettre de prendre un temps d’investissement dans une relation plus aboutie. Pourtant, ironiquement, tu sais parfaitement que voir Cynthia flirter en compagnie d’un autre homme t’animerait de ce petit quelque chose, de cette pointe de jalousie que tu ne cherches pas à assumer, ni même à exprimer. Cette pointe naturelle et inévitable capable de titiller comme il le faut si la situation devait se présenter. Alors fait-elle simplement preuve de jeu, ou bien de jalousie? Ton esprit aime à penser qu’il s’agit d’un subtil mélange de ces deux options. Et cela te plait. Intérieurement, cela te plait et renforce la particularité de cet échange. De ce lien. De cet unique lien de simples ‘sex-friends’ si on devait résumer la chose très vulgairement et grossièrement. Tu y préférerais néanmoins la nomination d’amants. Elle est plus juste et plus représentative de votre condition proprement dite! Dans tous les cas, ta consoeur demeure dans une sensualité aussi naturelle qu’embrasée. Que ce soit dans sa gestuelle, ou même dans la façon qu’elle a de ponctuer ses réponses à tes taquineries, elle ne s’illustre que sous une vibration prenant en otage tes oreilles et chacun de tes muscles à chaque son émit par sa délicieuse voix de sirène. Voix de sirène pour corps de déesse. Corps de déesse pour un parfum d’obsession. Parfum d’obsession pour un désir incontrôlable et irrépressible contre lequel tu serais incapable de lutter même si tu le voulais. À sa manière, elle est cette évidence de sensualité, de charme, de luxure et de passion qui bat et vit en toi. La réponse évidente à une interrogation que tu ne t’es jamais posée. La conclusion d’une quête que tu n’as jamais cherché à réaliser. Elle est cette présence et cette évidence qui te fait ressentir que là, en cet instant précis, en ce bas monde et dans cette chambre d’hôtel de Poni, à Alola, tu ne voudrais être nulle part ailleurs, et en compagnie de personne d’autre exceptée elle!

Frissons au contact de ses doigts. Contraction de tes muscles sous l’agilité de ses phalanges. L’appel est présent. L’appel est puissant. Tu te moques de la subtilité ou de la patience. Tu les balayes d’un revers de la main en venant cueillir en premier lieu ses lèvres pour des retrouvailles s’étant trop longuement faites attendre. Ces saveurs tendres d’une chaleur qui embaume ton ventre et fait vriller tes sens dans une tornade de bien-être te manquant beaucoup trop. De tes yeux clos, tu te noies dans ce baiser qui t’apporte tellement. Tellement de saveur. Tellement d’épanouissement. Tellement de chaleur. Tellement de bien-être. Tellement de désir et d’envie. Cette saveur précautionneuse qui laisse rapidement place à une nature plus langoureuse et plus représentative de votre expression naturelle. Les frissons qui t’animent sous ce profond baiser se confrontent à une chair de poule parcourant toute ton échine par le contact de ses dix doigts. Ceux sur ta nuque apportent presque un chatouillement érotique alors que ceux s’invitant sur ton ventre ne font qu’accentuer la contraction de tes abdominaux et la sensibilité d’un épiderme taquiné et provoqué d’une faim délicate mais parfaitement décelée et entendue. “Et encore… elle n’en n’est qu’à… ses balbutiements…” Souffles-tu. Souffle nettement plus fiévreux, la laissant pleinement se libérer de ce joli veston tout en laissant tes mains glisser davantage vers l’arrière de son corps. À la passion de vos lèvres se retrouvant beaucoup plus chaudement et fiévreusement, tu phalanges se répandent sur ses hanches afin de glisser jusqu’à ses fesses auxquelles tu offres la pression d’une poigne ferme et solide. Fesses que tu te plais à sentir et à toucher sans trop t’y attarder. Tes mains se séparent. L’une pour imiter l’objet de tes désirs en s’invitant sous son chandail. Main qui découvre sa peau. Main qui se glisse et s’insinue sous le tissu afin de retrouver le bas de son dos. Sa chute de rein. L’onctuosité d’une chair tellement soyeuse au toucher. Il en va de même de cette jumelle qui se glisse de sa fesse le long de sa cuisse. Avide de contact plus concret, ses doigts glissent jusqu’à la fente de sa mini-jupe. Ses cuisses. Ses cuisses longues. Fermes. Sculptées de la plus exquise des manières. Chair d’une cuisse dans laquelle tu enfonces l’empreinte de tes doigts. Tes lèvres et ta langue perpétuent leur jeu de charme et d’envoutement sous le rythme lancinant de ses caresses profondes échangées l’un envers l’autre. “On dirait que…” Tu lui offres un regard de charme et de désir. “je t'ai manqué…” Réflexion taquine sous le sadisme de sa lèvre inférieure que tu viens capturer entre tes dents pour la tirer chaudement…
 

Cynthia Wright
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Age : (( 34 )) la grâce, la maturité et la sagesse se lisent sous les traits tendres et harmonieux de ton visage. tu inspires le respect et la bienveillance. le temporel ne pourra nullement parvenir à changer cela. Statut civil : (( DIVORCE PROCEEDING )) lutte acharnée pour parvenir à franchir ce chapitre. lutte acharnée et périlleuse que de t’échapper de cette étreinte féroce et manipulatrice. mais, tu as réussi. et cette réussite ne t’inspire pas spécialement à rechercher le symbole de cupidon. Emploi / loisirs : (( MASTER POKEMON )) il s'agit beaucoup plus qu'un titre à tes yeux. occasion unique et exceptionnelle d'inculquer responsabilité à tous ces dresseurs se présentant à toi, mais surtout de leur apprendre quelle est la véritable valeur d'être dresseur Pokémon. Localisation : (( KANTO -- INDIGO )) nouvelle terre que tu foules depuis un temps que tu ne comptes plus. nouvelle terre auquel tu tiens. nouvelle terre que tu protégeras de ceux désirant y mettre fin et où tu défendras, protégeras, coûte que coûte, ces créatures des forces des ténèbres.
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Crédits : cosmic light (avatar) Warning(s), va devoir jouer : (( violence conjugale, possible scènes érotiques )) Trigger(s), refuse de jouer : (( à discuter entre nous, mais pas de cruauté envers les Pokémon! )) Joueur.se : (( shining heart ))
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I feel you, each move you make. I feel you, each breath you take. Where angels sing and spread their wings, my love's on high you take me home to glory's throne, by and by > @dean finnegan

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(( tenue )) Une question dont la réponse demeure en suspens par la parole, mais nullement par le sous entendu qui peut se lire dans le creux de tes iris illuminés de cet être parvenant à mettre tes hormones sens dessus dessous. Tu ne l’avoueras pas. Tu ne veux l’avouer. L’avouer et le reconnaître signifierait beaucoup trop de conséquences pour ce coeur encore en pleine phase de réparation de sa dernière relation passée. Malgré toi, tu sais que tu serais incapable de demeurer de marbre face à une femme flirtant avec celui contre lequel tu te sens bien. Oui, dans un certain sens, Dean t’appartient. Situation cocasse pour une femme se refusant de reconnaître l’inévitable, mais dont la profondeur de la sincérité perdure et demeure. Pour toi, Dean représente plus qu’un simple partenaire que tu aimes revoir au travers de quelques échanges intimes. Il représente un réconfort. Il représente la légèreté, la spontanéité, la bravoure et le courage. Il est l’incarnation même d’un dieu grec brandissant son physique saillant vaillamment. Il est cet homme contre et avec lequel tu n’échangerais l’alchimie pour rien au monde. Une alchimie qui se retrouve presque aussitôt et rapidement sous le contact de son corps contre tes doigts. Frissons ressentis sous cette contraction que tu ressens. Battements cardiaques qui se multiplient au travers des retrouvailles d’un baiser sulfureux. Saveurs tendrement exquises et libératrices. Pas de faux semblants. Cet homme t’a manqué. Sa présence t’a manqué. Cette façon si particulière qu’il a de te parler, de te toucher ou encore de t’embrasser sont les simples signes évidents que tu fonds littéralement sous son charme, comme aucun autre n’aura réussi à faire jusqu’à présent. Paupières closes, tu te perds dans cet échange. Une perdition qui se ponctue sous l’agilité frêle de tes doigts sur ce ventre dont tu en ressens le contact de la chair ferme sous ce débardeur qui le recouvre. Le bout de tes phalanges se renfonce sensuellement dans cette peau, souriant finement sous les contractions de ses abdominaux. Tu aimes le toucher. Tu aimes le faire vibrer. Tu aimes l’embrasser et lui montrer, au travers de ces baisers, à quel point il t’a manqué et à quel point tu ne cesses d’être avide et gourmande de sa faim. Retrouvant possession de tes mains, tu t’affaires à te détacher de cette veste te recouvrant alors que tu es prise en otage par des frissons intenses sous l’apposition de ses mains de par et d’autre de ton corps. Un corps bien trop sensible à son toucher et à ses caresses. Le creux de ton ventre se serre, se contracte sous l’envie qu’il t’apporte et t’inspire. Sentir le contact de ses doigts, contre ta peau est une saveur bien trop unique qui t’a manqué beaucoup trop longtemps. L’étreinte de tes doigts se raffermit dans la base de ses cheveux alors que leurs jumeaux glissent vers le creux de son dos, sur sa chute de reins auquel tu offres une pression lancinante et sensuelle. Une manière de l’accompagner dans les effleurements qu’il apporte à ta peau électrique. Peau électrique dont le corps se rapproche dangereusement de celui qui l’envoûte et lui fait perdre pied. Soupirs sulfureux contre des lèvres exquises et obsédantes, c’est un sourire coquin et malicieux qui s’étire sur le coin de tes lippes pulpeuses. « C’est ce que tu crois…? » Lèvre inférieure qui se mordille dans un jeu de charme et de sensualité qui est ta marque de fabrique. Tu ne le quittes pas des yeux. Tu lèves les yeux vers le plafond sous ce sadisme apporté à jouer de la sorte avec ta lèvre. Jeu dangereux où tu tombes tête la première. Jeu dangereux où tu reprends la pleine possession de tes doigts. Mains se reposant dans une fermeté fiévreuse sur le sommet de ce torse ferme et appétissant, c’est toujours dans ce sourire rempli de charme que tu le fais avancer. Tu le fais avancer jusqu’à ce que tu le pousses gentiment, en toute grâce, contre ce canapé, ce divan où il s’y installe. Instant parfait où tu viens t’installer à califourchon sur lui. Genou de par et d’autre de son corps, ton bassin se colle instantanément contre le sien. Un bassin qui offre déjà un mouvement rempli de sous entendus. « Tu vas voir… à quel point… tu m’as manqué… » Ponctues-tu dans un souffle fiévreux, séduisant, charmant avant de laisser le bon soin à tes lèvres de capturer chaudement leurs jumelles sous la cambrure de ton corps, renforçant l’alliance de vos bassins tentateurs.

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Mar 17 Mai - 20:06




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(( tenue )) La chaleur grimpe lourdement en intensité. À la fois proie et prédateur, tu n’es que l’expression d’une docilité parfaite lorsqu’elle vient t’attirer pour te faire asseoir sur le divan de la suite. Tu n’as qu’un seul regard à glisser sur son corps et sur son visage pour comprendre, pour deviner, pour savoir ce qu’elle compte faire. Et ça? Ca ne t’enflamme et ne te brûle qu’encore plus! Témoin de ses actes, tu te mordilles finement la lèvre en la voyant grimper, s’installer, tout en écartant les jambes, afin de prendre place sur toi. Tes mains se posent de part et d’autres de ses cuisses auxquelles tu viens offrir la poigne ferme et avide de tes phalanges. Ancrées dans sa peau, celles-ci descendent et remontent légèrement et lentement sur lesdites cuisses. Une tempête de frissons accompagne la nuée de Papillusion qui s’envole dans le creux de tes entrailles lorsqu’elle agite d’un fiévreux sous-entendu la dextérité de son bassin. Un soupire quitte tes lippes sans que tu ne le contrôles. L’échange de regard entre vous semble trahir au plus fort de son ardeur la chaleur qui vous rassemble. Si tu te sens devenir de plus en plus brûlant, non, ce n’est clairement pas à cause d’Alola et de ses températures généralement douces, voire élevées! Tu n’as pas le temps de lui répondre, et tu ne le cherches pas réellement. Dans un besoin avide, tu retrouves ses lèvres pour que vos baisers ne s’en transforment qu’en un balais encore plus fougueux et dévorant. La manière dont elle se cambre et, implicitement, se frotte à toi, ne fait qu’accélérer ton souffle. Ton rythme respiratoire monte peu à peu dans les tours. Tu abandonnes une cuisse de ta main pour que celle-ci se repose de nouveau sur la joue de ton ange blond. La jumelle, elle, renforce sa poigne au contraire, ne marquant que plus encore sa peau de ton empreinte s’y glissant encore plus férocement. Une chair dont ta main prend l’entière propriété sans se retenir de remonter de plus en plus haut, vers la barrière qu'offrent les contours de sa mini-jupe largement remontée. Ce feu t’as manqué. Sa saveur t’as manqué. Son goût t’as manqué. Elle t’as manqué. Et telle une communion outrageuse, ton bassin se met à répondre au sien sous la forme de petits déhanchements entendus mais bien sentis. “Attention… Si t’essaies de faire grimper la température…” Aspires-tu sa langue entre tes lèvres, la kidnappant quelques secondes sous ta réplique. “Je ne voudrais pas que…” Tes mains abandonnent sa cuisse et son visage. Elles se glissent malicieusement comme un Abo sur sa taille. “Tu meurs…” Mains qui attrapent, agrippent, le bas de son haut beaucoup trop gênant et intrusif subitement. “...de chaud…” Tu tiens les contours de ce vêtement en otage, reprenant un tango encore plus frénétique de vos lèvres et vos langues pour ne s’en séparer qu’au bout de plusieurs dizaines de secondes. Plusieurs dizaines de secondes au bout desquelles ce n’est ni ton souffle, ni le besoin d’air, ni la lassitude qui te fait abandonner ses lippes. Mais juste la disparition de son haut dont tu la libères. Son buste et sa poitrine, d’une majestuosité généreuse et flamboyante, se révèlent à toi sous ce sourire satisfait et accroc à la beauté toute entière qui te fait face. Tu prends le temps. Tu prends clairement les secondes qu’il faut pour juste savourer ce buste à nouveau libérer et offert depuis bien trop longtemps. Contemplation de cette chair et cette lingerie toujours aussi parfaitement choisie… Et tes yeux lubriques qui remontent en direction des iris de celle que tu désirais plus que tout. “J’ai l’impression que… toi et moi…” Tu rapproches dangereusement tes lèvres des siennes. Une main vient de nouveau retrouver sa cuisse pour lui infliger une seconde fois le même traitement tandis que ta jumelle effleure sa nuque, son cou, se laissant glisser et redescendre sensuellement au centre même de son décolleté affolant. “Ca fait une éternité…” Laisses-tu mourir ses mots dans un souffle d’érotisme où tu ne reviens que l’embrasser de plus belle tout en laissant vos corps se retrouver et se rapprocher encore plus qu’ils n’en n’avaient besoin, totalement porté et transporté par le contact délirant de ton amante…

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